Mes premiers crocris

À la terrasse d’un café, une femme sort un carnet et de l’aquarelle. Cette activité me fascine. Elle me fait rêver. Prendre le temps d’observer. Retranscrire l’essence d’un lieu. L’interpréter avec sa sensibilité. Prendre le temps.
C’est le genre de personne que j’aurais aimé être. Je me rends cependant compte que ce n’est pas mon moyen d’expression. (C’est assez flagrant quand on voit mon carnet).

J’ai à ce moment-là réalisé que rien ne m’empêchait de faire de même avec des mots. Un croquis écrit. Un crocris. Je me suis mise alors à écrire pendant 2h, tout ce que je pouvais: des sons, des odeurs, du visuel, du mouvement…
Ça m’a permise de vraiment prendre le temps d’observer. Un acte méditatif. Les mêmes méthodes du dessin peuvent s’appliquer par les mots. Les mêmes problématiques.C’est alors mentalement que le croquis prend forme.

C’est alors mentalement que le croquis prend forme.

RECEVOIR
DES NOUVELLES DU NORD

Un mail tous les dimanches à 7H avec les 7 derniers articles